[Oulan-Bator - Nantes En Train Avec Un Polaroïd]
A La Rencontre Des Voyageurs Dans Les Trains D'Asie Centrale Et D'Europe
A travers des portraits simples des personnes que nous rencontrerons dans les trains d'Asie et d'Europe, nous voulons chercher, découvrir, comprendre ce qui nous connecte, ce qui nous rassemble, nous, les citoyens du monde !
Partir à leur rencontre
De wagon en wagon, des forêts de Sibérie jusqu'à l'océan Atlantique, d'Oulan-Bator à Nantes en passant par Astana, Samarcande et Istanbul, le voyage nous fera rencontrer des gens qui, comme nous, iront d'un point à un autre. Nous suivrons ensemble le même rythme lent, nous nous laisserons tirer par la même locomotive, pour un temps seulement, et puis nous nous séparerons sur le quai, nos vies reprendrons leur rythme. Mais pendant un instant nous aurons été des voyageurs semblables, partageant la même banquette, regardant le même paysage et... curieux de la même manière de la présence de l'autre.
Nous partons à la recherche de ces hommes et de ces femmes russes, khazakes, ouzbeks, géorgiens... qui partageront un instant notre quotidien, notre fatigue, notre émerveillement. Ramener dans nos sac-à-dos, les portraits, les histoires, les aventures, les échanges que nous aurons eu avec ces personnes qui nous prouverons j'en suis sûre, que nos ressemblances sont bien plus fortes que nos différences, et que si on y prend le temps, on peut tous se comprendre.
Pourquoi ce projet ?
De retour de Mongolie après un an de découvertes et d'émerveillement, il fallait un projet pour prendre toute l'ampleur de ce que ce voyage nous avait apporté. Rentrer en France, oui, mais comment ? Dans quel état d'esprit ? Par quel moyen ? Dans quelle condition ?
Prendre le temps de rentrer par la terre, et prendre le temps de réaliser ce que représente le retour.
Notre conception du voyage ...
Bien plus que de rencontrer « l'étranger », en voyageant, on rencontre des amis, des frères, des sœurs, des pères, des mères, des gens avec qui on partage, des amis avec qui on rit aux larmes, des parents qui nous consolent et des sœurs qui nous raniment d'un regard. Voyager, c'est bien plus que se déplacer, bien plus que de « consommer » des paysages lointains, des cultures différentes de la nôtre. Voyager, c'est accepter de se laisser transformer par les autres, c'est laisser de côté tout ce qu'on sait, tout ce qu'on croit savoir et se montrer nu devant l'immensité et la richesse du monde.
De wagon en wagon, des forêts de Sibérie jusqu'à l'océan Atlantique, d'Oulan-Bator à Nantes en passant par Astana, Samarcande et Istanbul, le voyage nous fera rencontrer des gens qui, comme nous, iront d'un point à un autre. Nous suivrons ensemble le même rythme lent, nous nous laisserons tirer par la même locomotive, pour un temps seulement, et puis nous nous séparerons sur le quai, nos vies reprendrons leur rythme. Mais pendant un instant nous aurons été des voyageurs semblables, partageant la même banquette, regardant le même paysage et... curieux de la même manière de la présence de l'autre.
Nous partons à la recherche de ces hommes et de ces femmes russes, khazakes, ouzbeks, géorgiens... qui partageront un instant notre quotidien, notre fatigue, notre émerveillement. Ramener dans nos sac-à-dos, les portraits, les histoires, les aventures, les échanges que nous aurons eu avec ces personnes qui nous prouverons j'en suis sûre, que nos ressemblances sont bien plus fortes que nos différences, et que si on y prend le temps, on peut tous se comprendre.
Pourquoi ce projet ?
De retour de Mongolie après un an de découvertes et d'émerveillement, il fallait un projet pour prendre toute l'ampleur de ce que ce voyage nous avait apporté. Rentrer en France, oui, mais comment ? Dans quel état d'esprit ? Par quel moyen ? Dans quelle condition ?
Prendre le temps de rentrer par la terre, et prendre le temps de réaliser ce que représente le retour.
Notre conception du voyage ...
Bien plus que de rencontrer « l'étranger », en voyageant, on rencontre des amis, des frères, des sœurs, des pères, des mères, des gens avec qui on partage, des amis avec qui on rit aux larmes, des parents qui nous consolent et des sœurs qui nous raniment d'un regard. Voyager, c'est bien plus que se déplacer, bien plus que de « consommer » des paysages lointains, des cultures différentes de la nôtre. Voyager, c'est accepter de se laisser transformer par les autres, c'est laisser de côté tout ce qu'on sait, tout ce qu'on croit savoir et se montrer nu devant l'immensité et la richesse du monde.